Déjà dix ans que le SauceGod incite au rapprochement des corps dans des morceaux taillés pour les clubs. Ça s’entend sur disque. Ça se ressent sur scène, où chacun de ses lives est aussi dansant que mémorable. Un pur kiff, donc, auquel on n’a finalement d’autre choix que d’adhérer. Parce que le Belge a le sens du tube, et parce qu’on se dit qu’un jour, ça n’aura pas de prix d’avoir vécu à la même époque que lui.