L’eurodance est encore loin de la retraite. En voilà une nouvelle preuve avec TDJ (pour “terrain de jeux”). Sous cet alias lancé en 2019, la Montréalaise propose une relecture du genre taillée pour les dancefloors les plus exigeants. Au long de clips fleuves de plus de 30 minutes, elle nous immerge dans ses productions à la fois nostalgiques et oniriques. Pour retrouver l’innocence du dancefloor.