Khali ne court pas après le succès. Plutôt que de faire sa fête à une boutique de luxe, le Bordelais préfère déstabiliser l’auditeur, penser des albums qui vous feront économiser des séances chez le psy et se servir de sa voix éraillée pour raconter des histoires à la portée universelle. Une façon pour lui de s’extraire de la sphère indé ? Pas sûr qu’il en ait réellement envie, mais il le mérite amplement.