Il faut forcément un peu d’humour pour adopter un tel surnom. Il faut surtout un vrai talent pour maîtriser ainsi le beatmaking et l’écriture, s’approprier la plugg et proposer une musique moins attirée par les concessions que par la possibilité de faire trembler les guibolles de la vieille garde. « Revolution », chantait l’ex-Beatles : Jeune Lennon en annonce une nouvelle, moins politique mais tout aussi poétique.