Ce n’est qu’après des débuts musicaux en pleine pandémie et un voyage d’un an en Côte d’Ivoire plus tard – où elle aura passé la majorité de son temps à composer – , qu’elle décide de prendre son courage à deux mains pour enfin poser sa voix sur ses compositions.
Mélangeant énergie et mélancolie, joie et tristesse, amour et violence, l’univers d’Adés the Planet se construit autour d’une dualité qui rend sa musique addictive, avec un premier projet « je pleure en dansant » au compteur, où elle porte des textes qui abordent ce qu’elle voit et ce qu’elle vit sur une musique que l’on qualifierait au premier abord d’authentique, ouverte et digitale.
Il n’en fallait pas plus pour que cette nouvelle tête rejoigne la programmation de Marsatac.
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